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Baroudeur
🇫🇷 Se démarquant par des textes ciselés et un univers musical aux multiples visages, Baroudeur pose un regard espiègle et empreint de tendresse sur les constellations de nos quotidiens. 
Introduisant son Ier EP "Du 4e Étage" avec "Lettre à un ami", ritournelle douce- amère de la difficulté à se mettre en mouvement, Baroudeur y dévoile une plume acérée, toujours sur la bascule entre optimisme et pessimisme, posée à l'endroit du doute : là où les certitudes s'entremêlent avec la peur de se tromper.

🇬🇧 Distinguished by his finely crafted lyrics and multifaceted musical universe, Baroudeur casts a playful and tender gaze on the constellations of our daily lives. 
Introducing his first EP, “Du 4e Étage,” with “Lettre à un ami,” a bittersweet refrain about the difficulty of getting started, Baroudeur reveals a sharp pen, always teetering between optimism and pessimism, poised at the point of doubt: where certainties intertwine with the fear of being wrong.

RECORDS
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Du 4e Étage EP - LFDC002

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📝 Bio

🇫🇷 Si on devait tout résumer, on pourrait dire que c’est l’histoire d’un jeune homme nommé Théo, qui s’éparpille depuis son enfance, et qui, un jour, prenant conscience du bordel qui règne dans ses disques dur et ses carnets, décide de commencer à tout rassembler : des poèmes, des souvenirs, des amours et des amitiés, des mélodies, beaucoup d’images...
... et des dizaines de chansons.
À la lumière de tout ce chemin parcouru en zigzag sans jamais savoir quel jour on est, il décide de se surnommer Baroudeur, et enregistre un premier morceau qu’il nomme « Lettre à un ami ». Comme les questions embarrassantes qu’on pose « pour un ami », en équilibre entre confession Lo-Fi et envolée orchestrale, cette première prise de parole raconte en douceur la difficulté de choisir sa voie et de se mettre en mouvement.
Mais dès lors, le mouvement est amorcé et les morceaux s’enchaînent. Depuis la fenêtre qu’elles ouvrent du quatrième étage d’un HLM, ces cinq chansons posent un regard espiègle et irrévérencieux sur les affres de la vie moderne. S’y dévoile une plume acérée, toujours sur la bascule entre optimisme et pessimisme, posée à l’endroit du doute, là où les certitudes s’entremêlent avec la peur de se tromper.
Cette précision dans l’écriture lui permet d’aborder avec habileté des sujets difficiles comme l’amour impossible entre deux sans-abris dans « Deux sans toit », ou bien la dépression de son pote qu’il entonne avec humour en implorant la « Sérotonine » de revenir.
Contrastant avec un registre musical résolument pop aux sonorités enveloppantes et à l’orchestration explosive, entre acoustique et électronique, la mélancolie des thèmes abordés s’efface derrière ce langage universel qu’est la musique ; musique avec laquelle ce jeune poète du quotidien conjure ses rêves d’évasion, faisant « le témoignage du 4e étage » dans « Les Oiseaux du Quartier » où il compare ses homologues banlieusards à des oiseaux pris dans la glue.
Concluant ce premier opus en fanfare – au sens propre du terme – Baroudeur révèle son amour pour son premier instrument, le trombone, dans « Au bord de l’eau », ode malicieuse à la flemme de faire le ménage dans laquelle tout le monde se reconnaitra !



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